Je ne sais pas pour vous, mais moi j’avais hâte d’entrer dans les études supérieures. Pour me focaliser sur des matières qui m’intéressent bien sûr, mais surtout – surtout ! – pour parcourir le monde. Partir étudier dans un autre pays, prendre une année sabbatique pour faire un road-trip, trouver un job d’été à l‘autre bout du monde… J’avais des rêves plein la tête ! Par contre, je n’avais pas prévu certains détails administratifs (qui ne sont pas tant des détails que ça, d’ailleurs) qui ont bien failli m’empêcher de partir.

 

Mon rêve de voyage

Comme je vous le disais, j’ai toujours rêvé de pouvoir parcourir le monde. Que ce soit pour mes études, ma vie personnelle ou même un petit boulot, cette envie de voyage ne m’a pas quitté. La France est un très beau pays, il y a déjà pas mal de choses à voir mais pourtant, je n’avais pas envie de me cantonner aux frontières du territoire national. J’ai commencé ma vie d’étudiant avec trois objectifs en tête :

  1. Partir étudier à l’étranger .Je n’avais pas de pays de prédilection au premier abord mais une chose était sûre : je voulais déposer un dossier pour un échange universitaire. Avec le programme Erasmus + de nombreux pays sont accessibles. J’ai d’ailleurs appris qu’il existe d’autres programmes pour aider les étudiants à étudier à l’international en Europe comme dans d’autres coins du globe.

Ce qui est sympa, c’est que le semestre ou l’année passé à l’étranger est compris dans le cursus français (ça remplace une année passée en France, en quelque sorte). On y découvre un autre système d’enseignement, le mode de vie étudiante sur un campus et des étudiants locaux aussi bien que des étudiants internationaux, venant des quatre coins du monde. C’est top pour s’imprégner de différentes cultures, et qui sait, se faire des amis que j’aurai l’occasion de revoir en allant leur rendre visite dans leur pays d’origine !

Après réflexion et pas mal de recherches, j’ai fini par trouver deux pays qui m’attiraient particulièrement pour un semestre d’étude chacun : le Portugal, et le Japon. J’ai toujours voulu visiter Tokyo, c’est l’occasion idéale.

  1. Trouver un job d’été aux USA.Les États-Unis m’attirent, on parle du « rêve américain », et tous ces films et ces séries que j’ai pu voir nous montrent différentes facettes de cet immense pays. Pour une première expérience sur le sol américain, je voulais viser New-York, la « Grosse Pomme ». L’idée était de pouvoir améliorer mon niveau d’anglais sur place et être plus à l’aise à l’oral. Et puis, mine de rien, gagner un peu d’argent et pouvoir mettre sur son CV qu’on a travaillé à New-York, ça en jette, non ?
  1. Le rêve ultime avec mes colocs : louer un van et faire un road-trip en Nouvelle-Zélande.Pouvoir voyager pendant plusieurs mois, sans savoir à l’avance dans quelle ville se fera le prochain arrêt, se laisser porter et profiter de cette liberté… Et puis en profiter pour voir en vrai des lieux incroyables, des plages paradisiaques, faire des randonnées magnifiques et visiter « Hobbiton », le village de hobbits créé pour le tournage du Seigneur des anneaux. En grands fans que nous sommes, cet arrêt était forcément sur notre liste ! Et si on peut voir des baleines, des glaciers et la source chaude de Hot Water Beach, hors de question de s’en priver.

 

Les documents officiels : là où ça se complique

Un peu d’argent de côté grâce à mon job étudiant, des bonnes notes et appréciations à l’université, j’avais tout prévu… ou presque ! Ce à quoi je n’avais pas pensé, c’est que je vise des pays non-francophones. Et alors, où est le problème me direz-vous ? Et bien il faut pouvoir fournir certains documents dans la langue officielle du pays.Pour certains documents, comme mon CV et ma lettre de motivation, je pensais qu’une traduction en anglais faite maison suffirait. Après tout, je me débrouille plutôt bien dans cette langue et la plupart de mes cours étaient prévus dans la langue de Shakespeare. Là où on ne rigole pas, c’est avec les documents officiels.

  1. Pour partir durant deux semestres d’études internationales, j’avais besoin d’une traduction certifiée de mes notes et mes diplômes . Impossible de le traduire moi-même : quelle preuve auraient-ils que je n’ai pas trafiqué mes notes et appréciations, ou pire, un diplôme ? L’université d’accueil a donc besoin de ces informations dans sa langue et de manière certifiée conforme à l’original. Au passage, on évite toute erreur de traduction du système de notation.
  1. Pour mon job d’été à New-York, même problème, mais avec une lettre de recommandation . J’avais demandé à mon responsable, au job étudiant où je travaille les week-ends, de m’écrire une lettre pour dire tout le bien qu’il pense de moi (en étant sincère, évidemment). On m’avait dit qu’une lettre de recommandation d’un supérieur hiérarchique (ou d’un professeur) pouvait être un « plus » non négligeable pour un emploi, voire pour une candidature pour des études prestigieuses. Je n’avais pas pensé qu’il faudrait l’avoir dans la langue du recruteur. Ça parait logique finalement. Et comme pour les notes, il faut non seulement rester fidèle au texte de base sans rater les nuances propres à chaque langue mais aussi pouvoir prouver que je n’ai pas enjolivé le texte pour me mettre en valeur. D’où le besoin de traduction assermentée.
  1. Enfin, qui dit road trip en Nouvelle-Zélande dit véhicule motorisé. Jusque-là, rien de sorcier. Mais il fallait penser à la traduction assermentée du permis de conduire ! Dans certains pays comme les États-Unis et le Canada, un permis français suffit pour conduire sur place pour un séjour de moins de trois mois. Pour rester plus longtemps, il faudra demander un permis de conduire international. En Nouvelle-Zélande le permis de conduire français est accepté à condition d’être accompagné de sa traduction assermentée. Comme il s’agit d’un document juridique, le tampon du traducteur assermenté qui certifie la conformité à l’original est tout simplement indispensable.

Mettons les choses au clair : la traduction certifiée, autrement appelée traduction assermentée , c’est une traduction qui est reconnue officiellement. Elle est faite par un traducteur assermenté (d’où son nom) qui appose son cachet après les différentes étapes de traduction pour certifier la conformité à l’original (d’où son autre nom).

 

J’ai bien failli ne pas pouvoir partir à cause des documents à faire traduire

Avec tous ces documents à traduire à la dernière minute, j’ai vraiment cru ne pas pouvoir partir. Évidemment, je m’y suis pris à la dernière minute et je voyais déjà mes projets se casser la figure. D’autant que plus le temps passait, moins j’avais de temps à consacrer aux problèmes administratifs. J’étais à deux doigts de baisser les bras et tout laisser tomber. Je vous laisse imaginer dans quel état j’étais !

Et mine de rien, j’avais beau avoir mis de l’argent de côté, mon budget était particulièrement serré puisque dans de nombreux pays, il faut pouvoir prouver que sur place, on pourra se débrouiller financièrement. C’était mon cas, mais il ne restait pas grand-chose pour les extras, et j’avais peur que faire traduire tous ces documents ne coûte plus cher que les billets d’avion !

 

Un conseil pour vos voyages dans le cadre d’un échange universitaire : avant de partir, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de différents organismes pour prévoir au mieux votre voyage : la Caisse primaire d’assurance maladie (CAF), le bureau de la vie étudiante des établissements d’enseignement que vous visez, le service des relations internationales de votre propre université, les différentes associations étudiantes pour la mobilité internationale, creusez pour savoir s’il existe différentes bourses aux critères sociaux, rencontrez des étudiants étrangers en France pour une année universitaire et des étudiants français ayant fait une partie de leurs études à l’étranger…

 

Le site qui a sauvé mes voyages

Mais… roulement de tambours… j’ai pu partir ! Ça s’est joué de peu, mais j’ai trouvé un site de traduction assermentée en ligne qui a pu répondre à ma demande dans les temps. Quel soulagement ! Tout s’est fait très rapidement, leur site est simple d’utilisation, très intuitif, leurs délais de prestation relativement courts (en tout cas, assez pour que je puisse avoir les documents souhaités dans les temps pour mes voyages) et les tarifs attractifs , compte tenu de la qualité et de la rapidité.

J’ai donc pu avoir mes relevés de notes, mes diplômes, ma lettre de recommandation et mon permis de conduire traduits dans les langues souhaitées de manière certifiée en temps et en heures.

 

Ces séjours à l’étranger, aussi bien ma mobilité étudiante, mon job d’été que mon road-trip, ont été une expérience globalement incroyable. Je ne peux que vous conseiller d’en faire autant ! Profitez-en pour éviter de reproduire mes erreurs et passez directement par une société de traduction assermentée efficace en ligne pour traduire tous les documents officiels dont vous pourriez avoir besoin. En parcourant le monde, même avant l’obtention d’un diplôme post-bac, on apprend énormément des autres cultures, on rencontre des gens formidables, on lie des amitiés, on visite des lieux inoubliables et on rentre en France, grandi.